Cet axe, piloté par Lucien Bély, donne tout d’abord une forte part à des actions collectives, dont certaines ont fonctionné de manière transversale en collaboration avec d’autres axes : ainsi sur les questions liant politique et religion, ou sur celles unissant par effet de longue durée moyen-âge et modernité.

1) Entreprises collectives

De nombreuses entreprises ont été menées à bien, principalement sur trois thématiques capitales qui ont impliqué un très fort investissement des membres titulaires du CRM comme des doctorants.

a) Histoire de la paix, des relations internationales et de la diplomatie.
Ces trois thèmes permettent de voir comment les sociétés anciennes construisaient des États (souvent des monarchies) et envisageaient leurs rapports entre eux. Dégageant les conditions de l’action et du discours politique, les recherches menées avancent l’idée d’une autonomie du politique en cherchant comment il s’intègre à la vie économique, culturelle et sociale et en abordant tous les niveaux de son élaboration, depuis les conceptions théoriques les plus globales et la dimension mondiale des échanges internationaux jusqu’aux pratiques les plus modestes et quotidienne de la diplomatie ancienne qui devient un champ privilégie de l’analyse historique. Cette recherche s’intègre dans un vaste mouvement historiographique que le CRM a initié et qu’il contribue à fortifier.
– Séminaire de recherche et d’études doctorales sur l’histoire de la diplomatie et des relations internationales. Lucien Bély et Géraud Poumarède (Paris-Sorbonne, puis Bordeaux 3) ont organisé 23 journées d’études : « Femmes en diplomatie, diplomaties de femmes » (cinq séances en 2007 et 30 intervenants) ; « Lieux de la négociation, espace de la diplomatie » (cinq séances, 2008, 29 intervenants) ; « Cultures de diplomates et diplomatie de la culture » (cinq séances, 2009, 30 intervenants) ; « Diplomatie et pouvoir de l’argent » (quatre séances, 2010) ; « Espionnage, renseignement et information dans les relations internationales » (quatre séances, 2011).
– Séminaire de recherche de Lucien Bély sur l’anthropologie de la diplomatie et de la société de cour. Des séances ont été préparées avec le concours de Stéphane Jettot et de Michèle Virol, avec des interventions de Joaquim Albareda (Universitat Pompeu Fabra, Barcelone), Loïc Bienassis (Tours), Bertrand Fonck (Centre d’histoire de la Défense, Vincennes), Guido Braun (Bonn), Philippe Bragard (Louvain-la-Neuve), Robert von Friedeburg (Rotterdam), Rémy Mathis (Bibliothèque nationale), Renaud Morieux (Lille III), Pavel Ouvarov (Académie des sciences, Moscou), Professeur Maciej Serwanski (Poznan), Peter Schroeder (University College London).
– Organisation (par Lucien Bély et Géraud Poumarède) d’une journée d’études en 2007 sur « Louis XIV et les ambassades du bout du monde » (dans le cadre du Centre de Recherche du château de Versailles).
– Coordination par Lucien Bély, Stéphane Jettot et Bertrand Haan de l’organisation d’un colloque international sur « 1659. La paix des Pyrénées et le triomphe de la raison politique », les 19, 20 et 21 novembre 2009, 38 intervenants. Ont soutenu ce colloque le Centre Roland Mousnier – UMR 8596, ainsi que l’École doctorale II et le CLEA – EA 4083 de Paris-Sorbonne, la Casa de Velázquez et la Direction des Archives du ministère des Affaires étrangères et européennes, ainsi que l’Ambassade d’Espagne à Paris, l’Association des amis des archives diplomatiques, le Colegio de España en París et l’Institut historique allemand de Paris.
– Un groupe de recherche « Paix et diplomatie » unit enseignants-chercheurs, chercheurs et doctorants. Il a mis en place un site et a préparé un programme ANR en cours d’examen. Ce groupe a organisé aussi un atelier sur « La prosopographie des diplomates » organisé par Albane Pialoux, Simon Surreaux et Matthieu Gellard.
– Les recherches des membres du CRM ont alimenté en partie le numéro de la Revue d’histoire diplomatique, consacré chaque année à l’histoire moderne, en 2007 (Paul Sonnino, Géraud Poumarède, Stéphane Jettot, Joaquin Albareda, Marc Belissa) ; en 2008 (Daniel Aznar y Martinez, Sylvio Hermann de Franceschi, Guillaume Hanotin, Claire Martin, Sophie Nawrocki) ; en 2009 (Guido Braun, Anna Blum, Niels Fabian May, Alice Motte), en 2010 (Bernard de Montluc, Peter Schröder, Éric Schnakenbourg, Olivier Toussaint, Paul Soyez, John Rogister), en 2011 (Matthieu Gellard, Fabrice Micallef, Marie Chouleur, Charles-Edouard Levillain, Vivien Richard).
– Lucien Bély a accompagné, aux côtés d’Olivier Poncet (École nationale des Chartes) l’organisation de la journée d’étude « Diplomatie et diplomatique à l’âge moderne » : les traités (milieu du XVe-début du XIXe siècle) [Paris, 28 janvier 2011], réunion soutenue par le CRM.
– Le CRM a soutenu des doctorants qui ont conduit des études sur les relations internationales et des thèmes proches ;15 thèses ont été soutenues de 2007 à 2011 dans ce champ : M. Hervé, « Une bataille jugée. La défaite des Saintes et le conseil de Lorient » ; C. Boutin, « Les gazettes parisiennes d’Abraham de Wicquefort pendant la Fronde (). Cinq années d’information sur la vie politique, les relations internationales et la société nobiliaire de la France » ; S. Jettot, « Représenter le roi ou la nation ? Les membres de la Chambre des Communes au service de la diplomatie anglaise ( » ; M. Ousmane Traoré : « Marge de manœuvre, négociations et pouvoir de décision : les souverains de Sénégambie dans le système des relations internationales transatlantiques et dans l’évolution du capitalisme moderne du XVe au XVIIIe siècle » ; F. Ternat, « Inscrire la paix dans les espaces lointains. Histoire diplomatique d’un entre-deux-guerres : les négociations franco-britanniques de 1748 à 1756 » ; A. Pialoux, « « Négocier à Rome au XVIIIème siècle : ambassade et ambassadeurs du roi Très Chrétien dans la cité pontificale () » ; St. Genêt, « Renseignement militaire et actions secrètes de la guerre de succession d’Autriche au traité de Paris » ; A. Blum, « Les “sages ialousies”. La diplomatie française en Italie au temps de Richelieu et de Mazarin () » ; M. Gellard, « Une reine épistolaire. Les usages de la lettre et leurs effets dans l’action diplomatique de Catherine de Médicis » ; S. Guérinot-Nawrocki, Les réseaux d’information et la circulation des nouvelles autour de l’exil de Marie de Médicis () ; G. Candiani, « Venise, mutations d’une puissance navale au XVIIe siècle » (cotutelle avec L. Antonielli, Milan,) ; B. Fonck, « Le maréchal-duc de Luxembourg () et le commandement des armées : carrière des armes et pratique de la guerre sous Louis XIV » ; S. Surreaux, « Les maréchaux de France au XVIIIe siècle. Histoire sociale, politique et culturelle d’une élite militaire » ; G. Hanotin, « Au service de deux rois : l’ambassadeur Amelot de Gournay et l’union des couronnes » ; A. Tessier, « Réseaux diplomatiques et République des Lettres. Les correspondants de sir Joseph Williamson () ».

b) – Les échanges religieux entre France et Italie au XVIe siècle.

Alain Tallon a organisé avec l’appui du CRM plusieurs journées d’études et colloques internationaux : avec Gigliola Fragnito Journées d’études « Hétérodoxies croisées et controverses doctrinales entre France et Italie XVIe-XVIIe siècles », (École française de Rome, Università degli studi di Parma, Université de Paris Sorbonne Paris IV), séminaire I, Rome, 31 mai 2008. Séminaire II, Parme, 18 septembre 2009. Séminaire III, Rome, 30 mai 2011 ; avec Brigitte Basdevant et François Jankowiak, colloque international « Les ecclésiastiques dans l’Europe catholique (XVe-XVIIIe siècle). Pluralisme juridique et conflits d’autorité », Université de Paris Sorbonne Paris IV – Université Paris-Sud 11, Sceaux-Paris, 5-6 novembre 2010 ; avec Isabelle Poutrin, colloque international « Les expulsions de minorités religieuses dans l’Europe latine (XIIIe – XVIIIe s.) : argumentation théologique, théorisation juridique et pratiques sociales », Université Paris Sorbonne, Université Paris 12, Centre Alberto Benveniste, Paris, 3-4 décembre 2010.

c) Sociétés et pouvoirs de cour en Europe et dans le monde.

À travers son séminaire qui porte sur le secret et les cours lointaines, les recherches de plusieurs étudiants, le séminaire « La Sorbonne à Versailles », Lucien Bély a prolongé ses recherches sur la société des princes, le cérémonial, les structures communes des cours européennes. Il a participé à des colloques internationaux sur ces sujets et donné des études sur les maisons en Europe dans Bourbon und Wittelsbach. Neuere Forschungen zur Dynastiengeschichte (2010, sur le coup de majesté d’une princesse dans Elisabetta Farnese, principessa di Parma e regina di Spagna (2009), sur le « lustre royal » dans Sevilla y Corte. Las artes y el lustro real () (2010), sur la maison de France face à celle d’Autriche dans La Dinastía de los Austria. Las relaciones entre la Monarquía Católica y el Imperio (2011). Lucien Bély est membre du conseil scientifique du colloque international de Madrid sur « La Corte de los Borbones. Crisis del modelo cortesano » sous la direction de José Martínez Millán (14-16 décembre 2011). Lucien BÉLY est membre du conseil scientifique du programme international « The New Monarchy » qui a donné lieu à une première réunion en 2008, puis à un colloque international en 2011 à l’Université Erasmus de Rotterdam, sous la direction de Robert von Friedeburg. Il s’agit d’étudier les agrégations d’États à l’époque moderne, les formes de la société des princes ainsi que les rapports entre la monarchie et les élites sociales. Laurent VISSIERE a édité un texte de philosophie politique : Les Louenges du roy Louys XIIe de ce nom de Claude de Seyssel, édition scientifique du texte en collaboration avec Patricia Eichel-Lojkine, Genève, Éditions Droz, 2009. Marie-Catherine SOULEYREAU est chargée, depuis 1996, au sein du Centre de recherches Roland Mousnier (Université Paris IV Sorbonne), de la publication de la correspondance et des papiers d’État du cardinal de Richelieu, qui restaient inédits pour la période . Il s’agit de repérer les documents manuscrits dans les dépôts d’archives susceptibles de les conserver, de les transcrire, de les annoter (identification des lieux ou personnes citées, élaboration de notices biographiques), et de les présenter (description et analyse du contexte historique ayant présidé à l’élaboration des documents manuscrits). Pour l’année 1632, un millier de documents a ainsi été mis en forme, dont 450 ont été présentés, annotés et publiés en 2007 sous la forme classique d’un volume de 550 pages. Pour l’année 1633, plus de 800 textes ont été transcrits. Un corpus de 480 documents a été retenu, présenté, annoté et indexé. L’ouvrage, comportant 783 pages, est paru en juin 2010. Au mois d’octobre suivant, 980 textes et références restés inédits ont également été publiés, cette fois en ligne, avec présentation et annotation, sur le site internet www.rolandmousnier.cnrs.fr. Marie-Catherine SOULEYREAU se consacre depuis lors à la préparation des documents datant de l’année 1634. Un corpus de 975 textes a été établi. Leur présentation et leur annotation est en cours.

2) Parcours individuels

Lucien Bély a publié L’Art de la paix en Europe. Naissance de la diplomatie moderne, XVIe-XVIIIe siècle, PUF, Paris, 2007, 745 p. (Prix Albert Thibaudet du Centre Thucydide et Prix Thiers de l’Académie française) ; La France au XVIIe siècle. Puissance de l’État, contrôle de la société, PUF, Paris, 2009, 846 p. (Prix Laurain-Portemer de l’Académie des sciences morales et politiques). Il a prolongé ses recherches en participant à plusieurs colloques internationaux dont les actes ont été publiés : ainsi sur les grandes étapes de l’histoire européenne : la paix des Pyrénées (participation à Del Tractat dels Pirineus [1659] a l’Europa del segle XXI : un model en construcció, Barcelone (2010) et aux coloques de Paris et Luxembourg), le mariage de Louis XIV (colloques de Bordeaux et Saint-Jean-de Luz), la guerre de succession d’Espagne à travers la participation à L’Aposta catalana a la guerra de successió, (2007), La pérdida de Europa. La Guerra de Sucesión por la Monarquía de España (2007), La Guerra de Sucesión en España y la Batalla de Almansa. Europa en la encrucijada (2009). Ou encore sur les enjeux des relations internationales dans L’Empire portugais face aux autres Empires. XVe-XIXe siècles (2007), sur le commerce et la diplomatie dans Extranjeros y enemigos en Iberoamérica : la visión del otro. Del Imperio español a la Guerra de la Independencia (2010). Et également sur les pratiques de la diplomatie à propos des procès d’ambassadeurs dans Les Procès politiques (XIVe-XVIIe siècle) (2007), à propos des entrées princières dans Claude-François Ménestrier. Les jésuites et le monde des images, (2009), à propos du secret dans L’Art de la paix. Kongresswesen und Friedensstiftung im Zeitalter des Westfälischen Friedens (2011), à propos de la sécurité dans Assecuratio pacis. Französische Konzeptionen von Friedenssicherung und Friedensgarantie, (2011). Lucien Bély a publié, de plus des études sur les immunités diplomatiques dans les Mélanges de l’École française de Rome, Italie et Méditerranée, 119-1, 2007, sur les Pays-Bas au carrefour des tensions internationales dans la Revue du nord (2008), sur la représentation de la frontière dans Manuscrits (2008), sur le “paradigme westphalien” au miroir de l’histoire dans l’Annuaire français des relations internationales (2009), sur une pratique de l’État royal au temps de Louis XIV, l’enlèvement en terre étrangère, dans l’Annuaire-bulletin de la Société de l’Histoire de France (2010), sur la protection d’intérêts étrangers dans Relations internationales (2010). Chaque année, Lucien Bély recense des ouvrages récents dans la Revue d’histoire diplomatique. Il a publié avec Géraud Poumarède L’Incident diplomatique, XVIe-XVIIIe siècle, Paris, 2010, 460 p.Il a eu l’occasion de faire le bilan des études sur les relations internationales dans les Historiens français à l’œuvre, (2010) et en Italie dans Sulla diplomazia in età moderna. Politica, economia, religione (2010). Il achève une étude sur le secret comme pratique politique.
Roseline Claerr a donné une communication sur : « La diplomatique des traités sous Henri II », dans Diplomatie et diplomatique à l’âge moderne : les traités (milieu du XVe-début du XIXe siècle).
Bertrand Haan a conduit ses recherches dans deux directions : tout d’abord, La paix, état, tension et idéal au XVIe siècle. Les accords entre Habsbourg et rois de France ont servi de référence à l’exploration de la paix dans ses diverses dimensions, principalement à travers le traité du Cateau-Cambrésis, qui a eu le plus grand retentissement, auquel a été consacrée une monographie. Souvent rejetée dans la sphère de l’idéal, la paix autant comme un événement que comme un processus qui, avant comme après le traité, n’a rien de linéaire. Avant les guerres de Religion, un modèle hérité du Moyen Âge prédomine, qui subit ensuite l’influence de nouvelles conceptions politiques, fondées sur l’intérêt et la conservation, plutôt que de la confessionnalisation. En second lieu il a examiné l’amitié en diplomatie : Son apport a été de montrer le poids du langage, des implications et du modèle d’une amitié formelle, reposant sur une logique de don/contre-don dans les relations entre princes et les négociations diplomatiques ont été expérimentés dans un cadre précis (les rapports entre monarchies espagnole et français au début des guerres de Religion, ayant donné lieu à la publication d’un ouvrage aux P.U.F.) mais aussi grâce à une réflexion collective lors de plusieurs rencontres scientifiques, sur un temps plus long. Deux césures sont apparues : l’une au XIIe siècle, alors que l’amitié prend une dimension affective et une autre à partir du XVIIe siècle, alors que l’amitié exige sincérité et affectivité, réduisant notablement son impact sans la faire disparaître.
Stéphane Jettot a consacré depuis 2007 son travail à la publication d’un livre Représenter le Roi ou la Nation ? Les parlementaires dans la diplomatie anglaise. (), Paris, 2012, avec le soutien du centre Roland Mousnier. L’ouvrage traite des interactions entre les fonctions diplomatiques et parlementaires à partir de l’étude d’une cinquantaine d’individus, cumulant à la fois un siège dans la Chambre des Communes et une expérience dans une ambassade. Ce champ précis d’étude s’est complété de contributions autour de problèmes plus conceptuels comme les significations historiographiques du terme de politics (« La notion de politics dans l’historiographie anglo-saxonne », Paris, 2007) et aussi la notion d’intérêt à l’époque moderne (« Incidents diplomatiques et conflits d’intérêts dans la politique extérieure derniers Stuarts » 2010 et « The ideology of interests in English foreign policy during the Reign of Charles II », Londres, 2011). La circulation des savoirs entre les deux rives de la Manche est également une thématique importante de la recherche, notamment autour des problèmes de traduction.
Charles-Édouard Levillain a orienté ses travaux se sont orientés dans plusieurs directions : d’abord l’histoire moderne des relations internationales avec la publication d’un ouvrage tiré de sa thèse intitulé Vaincre Louis XIV. Angleterre-Hollande-France. Histoire d’une relation triangulaire (Champ Vallon, 2010, Prix Guizot de l’Académie française 2011). Fidèle à sa spécialité d’origine, à savoir l’histoire moderne des îles Britanniques, il achève actuellement un ouvrage sur la querelle de la milice dans l’Angleterre du XVIIe siècle, qui sera publié en 2013.
Albane Pialoux a consacré ses recherches à la négociation française en cour de Rome au XVIIIe siècle, avec une thèse de doctorat soutenue en novembre 2009 : « Négocier à Rome au XVIIIe siècle : ambassade et ambassadeurs du roi Très Chrétien dans la cité pontificale () ». L’essentiel est de chercher à combiner l’étude du face-à-face, l’étude des enjeux et des rapports de forces internationaux – le déclin de la voix de la papauté-, l’étude aussi des symboles en matière de diplomatie (utilisation des incidents diplomatiques, de l’inscription dans l’espace urbain, des rituels et du cérémonial), en somme les différentes échelles du travail d’un négociateur, du dispositif concret aux discours complexes. La publication de cette thèse est en cours. Parallèlement, la publication de plusieurs articles, la participation à des colloques, journées d’études et séminaires de recherches, à Rome, à l’EPHE, à l’université Paris-Sorbonne, a permis de prolonger ce travail autour d’axes forts : les relations entre Rome et la France, les crises politico-religieuses des années 1730, les pratiques diplomatiques.
Marie-Catherine SOULEYREAU a consacré une biographie à Richelieu parue au mois de septembre 2008.

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